Week-end aux sources de
Le conseil de direction du lycée
Qu’est ce que la culture
Vient ensuite le moment de se retrouver en petit groupe afin de réfléchir sur : « Comment est vécue cette culture dans nos établissements. » Ce petit temps a permis de confronter nos expériences, d’échanger sur ce que l’on vit dans nos établissements. Dans notre groupe, un premier constat est rapidement établi : les élèves, les enseignants, le personnel connaissent-ils exactement la signification de l’esprit Sagesse ? Savent-ils d’où provient le nom de leur établissement ? Pourtant, celui-ci est bien présent : « Des enseignants comme des élèves venant d’autres établissements me disent avoir ressentis cet esprit. », explique Philippe Magnier, directeur adjoint de
Autre problème soulevé : arrivons-nous réellement à communiquer cet esprit ? « Il faudrait pouvoir l’expliquer aux nouveaux professeurs, nouveaux élèves. » Comment faire ? « En parler lors de l’accueil des nouveaux parents, en faire le thème de réflexion d’une journée pédagogique… » Au-delà de communiquer l’esprit Sagesse, notre groupe déplore le fait de ne pas pouvoir s’échanger plus nos expériences : « Valenciennes et Cambrai sont deux établissements proches géographiques et pourtant, nous ne savons pas ce que fait l’un et l’autre. » Pourtant, l’échange d’idées peut être enrichissante : « La fête des 18 ans permettant de sensibiliser les jeunes à la citoyenneté est une manifestation lancée dans un premier temps à Cambrai puis repris à Valenciennes. »
D’autres groupes ont aussi souligné que les adultes sont un modèle pour les enfants, les élèves : « Ils peuvent acquérir la culture Sagesse en nous voyant vivre. On ne peut pas blâmer, par exemple, un enfant qui dit un gros mot si nous-mêmes nous ne faisons pas attention à notre langage. On ne peut pas exiger des élèves d’avoir la culture Sagesse si nous ne sommes pas des exemples. »
L’après midi, consacré à la culture jeune a permis de mettre en lumière nos différences qui sont autant de richesses. « Les jeunes sont dans l’illusion d’un monde où l’on doit réussir, où l’épreuve, l’échec n’a pas sa place, un monde où l’on ne peut pas se tromper, tomber… Parfois, nous entretenons cette vision. Or l’école doit être aussi un lieu d’apprentissage où certes on parle de réussite scolaire mais aussi un lieu d’écoute, de compréhension, de tolérance. Car les jeunes, ne l’oublions pas sont les pionniers de demain ! »
Les filles de
Louis-Marie Grignion de Montfort, prêtre depuis trois ans, se dépensait au milieu des pauvres de l'hôpital de Poitiers. Chaque jour, il faisait l'expérience de son impuissance face aux nombreux pauvres, marginalisés par la société et malades dans leur corps et dans leur âme. Une jeune fille de la bourgeoisie de Poitiers, Marie-Louise Trichet, avait souvent manifesté au prêtre de l'hôpital son intention d'être religieuse. Un jour, il lui dit: "Venez à l'hôpital". Marie-Louise entra à l'hôpital "en qualité de pauvre". Le 2 février 1703, le P. de Montfort lui remet un habit de couleur grise et d’étoffe grossière, proche de celui que portaient les paysannes de la région, complété par un crucifix et un chapelet pour en faire un costume religieux. A cause de cette vêture, ce 2 février 1703 est considéré comme la date de fondation des Filles de
Voir aussi : http://fillesdelasagesse.free
Avis aux « anciennes » et « anciens » de
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